Très jeune, Lucien est tombé amoureux de Paris. Il y a vécu longtemps… Il y vit encore par intermittence. Il a voulu y laisser une petite partie de lui. Des objets, des mots, simples souvent, sophistiqués parfois. Un hôtel comme une boîte pour ranger ses souvenirs… Un lieu de passage pour construire les vôtres. Bienvenue chez Lucien.
Lucien voulait que son hôtel soit situé au Cœur de Paris. Vingt-deux chambres dans un petit immeuble de coin du début du 17ème siècle au cœur de boboland, à la jonction de l’hétérogène et sympathique deuxième arrondissement, et du bouillonnant dixième arrondissement. Le quartier est cosmopolite, vivant, charmant, branché et populaire à la fois.
Son hôtel ressemble à une maison d’amis. Un piano, deux canapés au cuir patiné, des fleurs, quelques tables, du café italien, des biscuits belges au beurre, des livres d’architecture. Le soir, le salon illumine les petites rues sombres qui entourent l’hôtel. C’est ici que vos histoires, vos souvenirs rencontrent ceux des autres hôtes de passage.
Un étroit escalier marqué par le passage de milliers de voyageurs…. un lit confortable, quelques photos, tableaux ou céramiques, un lieu reposant. Pas de télévision, Lucien préfère regarder un film culte sur sa tablette mais n’apprécie pas le bruit inutile.
La famille, les amis, les voisins. Toutes des personnes de haute importance pour Lucien. Sortez de l’hôtel en empruntant la rue Sainte Foy, vous tomberez sur une charmante petite place ou Edgar y a installé son restaurant et son barreto. Plongez dans le passage du Nil pour déboucher sur la petite rue du même nom devenue un haut lieu de la gastronomie parisienne (boulangerie, boucherie, primeurs, restaurant, bar à vin, caviste).
En prolongeant sa promenade vers le Louvre, Lucien aime s’arrêter devant la jungle verticale de l’oasis d’Aboukir qui lui rappelle la nature luxuriante de ses années brésiliennes.
Certains disent l’avoir aperçus à la sortie du métro Strasbourg-Saint Denis (ligne 4, 8 et 9) qui se trouve à deux pas de l’hôtel. Il adorerait les commerces de bouches de la rue du Faubourg Saint Denis. Et comme un enfant, il accélèrerait le pas en passant l’arc de la porte Saint-Denis pour effrayer les pigeons et les voir s’envoler dans un ballet frénétique.